artiste invité / benoît géhanne

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Né en 1973 à Cherbourg, Benoît Géhanne vit et travaille à Saint-Denis. Il est diplômé de l’École Nationale Supérieur des Arts Décoratifs et de l’ENSAAMA Olivier de Serres.
En 2013, il est lauréat du prix international de peinture « Novembre à Vitry ».
De 2019 à 2022 il a travaillé avec le Centre National d’Étude Spatial dans un groupe de recherche autour des archives du CNES avec l’auteur Eric Pessan et la géopoliticienne Isabelle Sourbès-Verger. Ce travail a donné lieu à un ouvrage collectif publié en 2022 ainsi qu’une exposition au CNES pour la Nuit Blanche à Paris en 2022.
Il a effectué une première résidence à Chamalot-Résidence d’artistes en 2011, puis une seconde en plusieurs séjours répartis entre 2016 et 2018.
Son travail a été présenté dans des expositions personnelles aux CNES, au Centre d’Art Camille Lambert à Juvisy-sur-Orge, au LAC&S Lavitrine à Limoges, à la Progress Gallery, la galerie Djeziri-Bonn, la galerie du Haut-pavé à Paris, à la Générale en manufacture de Sèvres, dans le cadre du programme de la Borne de POCTB à Mont-Louis sur Loire et de la résidence « art et logement social » de la mairie de Paris.
Il a participé à des expositions collectives au centre d’art APDV à Paris, au CAC de Meymac, à la Jeune Création au 104, aux Salaisons de Romainvilles, au 6b à Saint-Denis et à Berlin à la Crystal Ball Gallery et au kulturpalatz wedding international.
Benoît Géhanne est également membre co-fondateur du collectif de commissariat d’exposition kurt-forever.
Ces œuvres sont présentes dans les collections publiques des municipalités de Vitry-sur-Seine et de Pantin ainsi que dans la collection de l’’Observatoire de l’Espace au FRAC Occitanie.

Le travail de Benoît Gehanne:
Tout d’abord marqué par l’exposition L’informe à Beaubourg, nourri par l’art concret avec des artistes comme Lygia Pape ou Dora Maurer, et encore par les artistes de Los Angeles tel que Mike Kelley ou John Baldessari, Benoît Géhanne entretient une affinité avec l’image photographique et sa mise à distance par une pratique picturale et construite - tableaux, sculptures et dispositifs d’installations. Cela passe notamment par un regard porté sur les objets techniques, particulièrement les architectures qui cadrent, configurent nos espaces à vivre, nos identités et nos récits. Il s’interroge sur les habitudes d’un monde où l’acte de voir est directement lié à l’appropriation et à l’identification.

œuvres exposées / Où arts et architecture entrent en dialogue

œuvres exposées / Et/ou

œuvres exposées / Le cas, les circonstances

œuvres exposées / salon de progress #5 / Sans parcelle